lundi 30 mars 2009

Lueur Conceptuelle ou Paradoxe Contradictoire (Photo Conceptuelle n° 022)


Je vais vous interpréter cette photo sous un angle symbolique.

Ici, nous pouvons observer une intense luminosité, représentant le beau, la fin du tunnel et les moustiques, et une obscure obscurité, représentant le Mal, la peur et les papillons. Il ne s'agit bien sûr ici que d'une représentation, n'ayant absolument aucun rapport avec les couleurs qui, comme les goûts, ne se discutent pas.

Vous aurez sans doutes, J'espère, constaté comme Moi le curieux paradoxe comme quoi le beau est associé au moustique représentant le laid et le mal au papillon représentant le bon. Pouvons-nous en conclure que le beau est laid et le mal bien? Ou serais-ce alors un sophisme?

Réfléchissez-y, et ne Me remerciez pas de vous donner autant de matière à méditation.

Bien à vous,
Votre modèle à tous et à toutes,
Moi,
Conceptual Girl

PostScriptum: J'attends toujours votre avis commentarial quant au premier paragraphe de l'article précédent.

lundi 16 mars 2009

Placards Conceptuels, ou Ode Aux Maladroits (Photo Conceptuelle n° 021)

Eh bien voilà, comme vous avez été si nombreux à le demander, un nouvel article. Je m'excuse pour Mon manque de rigueur sur ce génial blog. Il y a tout de même une question à laquelle Je voudrais vous soumettre, peu nombreux mais fidèles lecteurs: ne trouvez-vous ça pas bizarre, voire inconvenant, que sur un blog intitulé Photos Conceptuelles, la majeure partie du concept soit vouée aux textes? Pensez-vous que Je doives changer le nom de Mon blog, ou peut-être raccourcir Mes textes si géniaux pourtant? J'aimerais que vous répondiez en commentaires, en sachant, bien évidemment, que Je ne tiendrai absolument pas compte de votre avis.

Passons à présent à l'éclaircissement quant à cette photo-ci.

Ne représentant que des placards, toujours au summum de la mode, comme vous pouvez facilement vous en rendre compte, ce pictogramme à pour objectif d'interpeler le public face à la nature profonde de l'être humain. Ne trouvant cela Moi-même pas très clair, je préfère vous l'expliquer de suite. N'ayant pas le temps de prendre en compte la nature vectorielle de la Vie même, interprété avec virtuosité lors d'un de ces poèmes par poemgirl, qui comparait à titre justifié la Vie à une hirondelle, peut-être, sommes-nous profondément alertés par notre subconscient lorsque nous nous concentrons sur une tâche ménagère ou sans importance artistique ou intellectuelle, nous faisant tomber par la même occasion ce que nous tenions en mains, voire ce que nous essayions d'attraper ou ce à côté de quoi nous passions. Nous pouvons ainsi en déduire que les Maladroits sont ceux qui ressentent le plus cet appel, ou qui le reçoivent le plus, et peuvent donc se considérer comme des êtres privilégiés en ce bas monde, comprenant mieux que quiconque le sens de la Vie et son absurdité.

Merci, et à bientôt.